Beynat

En l’absence du maire, nous sommes reçus par des membres du conseil municipal.

La question de la montée du Front National anime une partie des débats. Notre position à cet égard est on ne peut plus claire : c’est le clientélisme et la démagogie qui flirtent avec le populisme dont se repaît cet extrémisme. Nous nous engageons sur un mandat unique, nous n’octroyons pas de « passe-droits », véritable fléau qui mine le lien social, nous ne sommes sur aucun conflit d’intérêts, et les électeurs que nous rencontrons nous encouragent vivement dans cette voie, seule à même de redonner du sens à une vie politique dont certains se détournent, écœurés par les « professionnels » de la politique qui cumulent et accumulent, au détriment du bien commun que tous devraient servir.

Nous développons aussi notre conception de notre implication pour l’emploi, avec cette difficulté que nos deux challengers s’accordent sur une augmentation budgétaire conséquente (alors que nous défendons une maîtrise des dépenses publiques), et des positions opposées quant à l’emploi public (division ou multiplication par deux), alors que nous nous prononçons pour une équilibre responsable dans la fonction publique territoriale afin de maintenir les services départementaux au haut niveau de performance auquel la majorité départementale l’a hissé.